Petits PatrimoinesNous vous proposons de découvrir des sculptures, des productions artistiques, des paysages modifiés par la main de l'homme, des lieux de vie qui témoignent de notre passé et qui méritent, à nos yeux, d'être préservés, admirés et transmis.
Le pavillon des Indes fut commandé par le Prince de Galles pour représenter les Indes britanniques à l'Exposition Universelle de 1878. Comme beaucoup des pavillons de cette Exposition, il a été démantelé et revendu ensuite par morceaux à des amateurs. Une partie du pavillon indien a fini par échouer dans les années 50 à Courbevoie dans le parc de Bécon où il s'y dégradait lamentablement. Enfin rénové en 2013, il a maintenant vocation à accueillir une exposition permanente ainsi qu'un hébergement pour un artiste en résidence. Pour de plus amples d'informations : http://www.ville-courbevoie.fr/culture-loisirs/equipements/pavillon-des-indes.htm...
Fondée vers l'an 630 à Saint Benoît sur Loire, la communauté monastique, dispersée à la révolution, a été refondée en 1944 par un groupe de moines bénédictins venus du monastère de la Pierre qui Vire dans le Morvan.
Dépendance de la Châtellenie de Beaune la Rolande, située à Nibelle dans le Loiret, le château du Hallier n’était alors qu’une simple maison forte entourée de fossés. C’est à Charles de l’Hospital que l’on attribue la construction ou l’agrandissement du château où séjournèrent Charles IX et Henri IV. Cet bâtisse mesure 68 mètres sur 50.
Yèvre-le-Châtel dans le Loiret, l'un des "Plus beaux villages de France", possède une église qui ne fut à la fois jamais achevée et ruinée. Ceci lui confère un charme romantique qui lui valut l'admiration de Victor Hugo.
A Bellegarde dans le Loiret, construit de briques et de pierres, flanqué d’un donjon ceint de tourelles, cet élégant édifice des XIVe-XVIIIe siècles reçut l’Europe des Lumières, à commencer par Voltaire.
De la villa de Théodulfe bâtie en 806, ne subsiste aujourd’hui à Germigny-des-Prés que l’oratoire. L’abside orientale, en cul de four, s’orne d’une mosaïque, unique en France, datant du IXe siècle. Plus de 130 000 cubes de verres composent cet ensemble représentant l’Arche d’Alliance.
Construite en 1903 dans le style Baltard, la charpente métallique de cette halle soutient une grande verrière et abrite le marché qui s'y tient chaque vendredi.
Bâtie en granit et moellon au XIIe siècle, l’église romane, dédiée à l’apôtre qui a donné son nom à la paroisse, occupe le point culminant du village. Jean-Baptiste Corot qui voyagea et peignit beaucoup en Morvan, a immortalisé cette église dans un célèbre tableau Saint-André-en-Morvan de 1842 exposé au Louvre. Visite possible : clef disponible en Mairie aux heures d’ouverture
Œuvre de l'architecte Claude Ferret, le palais des congrès de Royan illustre l'architecture moderniste des années 50. Le mouvement oblique d’escaliers extérieurs adoucit sa structure cubique. Abritant à l'origine une salle de spectacle modulable, dix salles de commission, un hall de réception ainsi qu'un restaurant et largement ouvert sur l’estuaire de la Gironde, il fut fermé dans les années 70 par une paroi toute en verre. Il abrite aujourd'hui les locaux de l'office du tourisme.
La « vogue des bains de mer », née au début du XIXe siècle, va faire de Royan l’une des plus élégantes stations balnéaires. Sacha Guitry, Yvonne Printemps et Jacques-Henri Lartigue y séjournèront. Sur le boulevard Frédéric Garnier, qui longe la plage de la Grande Conche, se succèdent des constructions plus originales les unes que les autres. Au n° 68, la villa « Les Campaniles », encadrée par deux tours de style néo-baroque, s'inspire de l'ancien casino de Foncillon, détruit en 1945 Au n° 70, la villa « Ombre blanche », archétype de l'architecture moderniste des années 1950, projetée par Claude...