Nous vous proposons de découvrir des sculptures, des productions artistiques, des paysages modifiés par la main de l'homme, des lieux de vie qui témoignent de notre passé et qui méritent, à nos yeux, d'être préservés, admirés et transmis.
A l’origine, c’était une porte de ville fortifiée, ouverte dans l’enceinte médiévale. Flanquée de deux tourelles crénelées, elle était percée de deux baies, l’une pour les chariots, l’autre pour les piétons. En 1478, on la surmonta d’un campanile abritant la cloche de l’horloge et en 1746, on modifia complètement sa partie supérieure pour faire place à la construction actuelle en forme de cartel Louis XV.
Haut de 15,53 mètres et comportant 104 marches, l'escalier de la gare de Marseille Saint-Charles est entrecoupé de 7 paliers. Sur les rambardes des 3 derniers paliers se trouvent 6 petits groupes en bronze sculptés par Henri Raybaud représentant les produits de la Provence. Se succèdent ainsi sur la rambarde gauche : la moisson, les fruits et la pêche, et sur celle de droite : les vendanges, les fleurs et la chasse.
La chasse
La moisson
La pèche
Les fleurs
Les fruits
Les vendanges
Terminé pour la seconde exposition coloniale, en 1922, l’escalier monumental de la gare de Marseille-Saint-Charles est orné de sculptures qui évoquent l’histoire de la ville. Au niveau de la gare, de chaque côté de l’escalier, deux groupes sculptées par Ary Bitter vous accueillent représentant chacune le lion et l’enfant. Une banderole annonce « le soleil et la mer » sur la statue de gauche, et « le monde est l’énergie » sur celle de droite. Le quatrième palier est encadré de deux pylônes dont la partie sud s’orne d’une allégorie féminine réalisée par Auguste Carli. Celle de gauche symbolise la...
Longtemps paroisse des marins, comme en témoignent les maquettes de goélettes visibles à l’intérieur, l’église Saint-Sauveur que vous pouvez visiter de nos jours a succédé à plusieurs autres édifiées en ce lieu. Le clocher date du XVème et la façade du XVII ème. D’autres ajouts plus récents ont produit ce curieux assemblage que l’éclairage nocturne transfigure.
Clin d'oeil à Michel
Gerberoy, classé parmi les plus beaux villages de France, mérite votre visite. Le peintre Henri-Eugène Le Sidaner, qui s'y installa en 1901, est à l'origine de la renaissance de ce lieu enchanteur. Pour en savoir plus http://www.gerberoy.info/
La maison bleue
L’association « Lézarts de la Bièvre » prend sa source en l’an 2000 et creuse son lit peu à peu : elle arrose le tissu urbain des 5ème et 13ème arrondissements et fête son anniversaire le deuxième week-end de juin. J’en ai profité en 2011 pour aller à la dérive sur la butte aux cailles en sifflant « Le temps des cerises ».
Jef Aérosol rue de l'espérance
Jef Aérosol rue de l'espérance
Place de la commune de Paris
Misstic, Rue Samson
Misstic, résiliences secondaires
Place de la commune de Paris. "Dans les bas-fonds on rêve des fonds du FMI. Mais au fond on sait qu'les familles sont souvent proches...
L'angle des rues Saint-Maur et Oberkampf, dans le 20ème arrondissement de Paris, sert de toile de fond aux réalisations ephémères de l'association le M.U.R. (Modulable, Urbain et Récréatif). J'ai le plaisir de vous présenter une oeuvre créée le 10 juin 2011. Vous pouvez découvrir les réalisations passées sur le site http://lemur.asso.fr/
Depuis 1984, Nicolas Lavarenne expose ses oeuvres dans le monde entier et "Grand arc-en-ciel" voyage beaucoup. Je l'ai photographié en aout 2006 dans le jardin du Luxembourg près du sénat.
Du 15 au 31 octobre 2012, dans le cadre "FIAC hors murs", trois sculptures monumentales de l'artiste barcelonais Jaume Plensa étaient visibles Place Vendome. "Istanbul Blues", une statue faite de notes de musique, "Irma’s White Head" faite de lettres en acier peint de blanc et "Yorkshire Soul II" composée d'alphabets d'acier d'origines différentes. Site retraçant cette exposition parisienne ici Une autre oeuvre de Jaume Plensa, Nomade, est exposée depuis 2010 sur le port d'Antibes.
Istanbul Blues
Istanbul Blues
Irma’s White Head
Yorkshire Soul II
Yorkshire Soul II
Yorkshire Soul II
Le 16 janvier 1983, Gérôme Mesnager invente l’Homme en blanc, "un symbole de lumière, de force et de paix" . Il s'associe souvent avec Némo dont le personnage fétiche est la silhouette noire d'un homme en imperméable coiffé d'un chapeau. En avril 2009, j'ai découvert ces corps blancs qui fêtaient la devise de la république sur le marché des "Blancs Manteaux" 1 bis Rue des hospitalières Saint-Gervais. Depuis lors, ces fantômes se sont évanouis.