Nous vous proposons de découvrir des sculptures, des productions artistiques, des paysages modifiés par la main de l'homme, des lieux de vie qui témoignent de notre passé et qui méritent, à nos yeux, d'être préservés, admirés et transmis.
Eugène Benet, auteur de la statue de bronze d’un poilu tenant une couronne qui orne le monument aux morts d’environ 900 communes françaises, a réalisé pour Montrouge une commande originale. Ce groupe qui figure la Victoire entraînant un soldat tandis qu'un blessé tend la main vers elle se trouve place du Maréchal Leclerc.
Dans les années trente, l’hôtel de ville de Montrouge, construit cinquante plus tôt, ne suffit plus à satisfaire les besoins d’une ville en pleine expansion. Un nouveau bâtiment, édifié en 1934 par Henry Decaux avenue de la République, abrite, outre les services administatifs, la salle des fêtes et le tribunal. L'association de la brique à la pierre calcaire donne à cet édifice, doté de belles proportions, encore plus d'élégance.
Le centre administratif de Montrouge, bâti en briques, s’orne de longs bas reliefs sculptés dans du calcaire par Louis Sajous. Ces motifs évoquent la vie de Montrouge et représentent le monde du travail, de la famille, des arts et du sport.
Sur le fronton de l’immeuble qui s’élève au 39 rue des Francs-Bourgeois dans le quatrième arrondissement de Paris, l’inscription "Fonderie d'or et d'argent, traitement des cendres, essais et analyses" intrigue le passant. Derrière cette façade qui s’harmonise avec ses voisines, les journées du patrimoine 2011 permettaient de découvrir pour la première fois des installations industrielles insoupçonnables. De 1859 jusqu’en 2004, les bijoutiers et orfèvres, nombreux autrefois dans le quartier, confiaient à la « Société des Cendres » les résidus de leur création afin d’en récupérer l’or et l’argent....
Chapelle Saint-Michel de Brasparts C’est au sommet du mont Saint Michel, à 381 m d’altitude, qu’a été construite en 1672 la chapelle de Saint-Michel de Brasparts, dite aussi chapelle de la Motte-Cronon le seigneur de Kermabon. Ruinée à la Révolution, elle fut reconstruite au XIXe siècle. L’architecture en est très simple, un plan rectangulaire avec chevet à pans coupés, l’intérieur est vide. C’est surtout le point de vue qui embrasse l’ensemble des Monts d’Arrée, le lac de Brennilis et permet par beau temps d’apercevoir le fond de la rade de Brest qui justifie cette ascension qui peut se faire...
Culminant à près de 400 mètres d’altitude, les monts d’Arrée n’ont rien à envier aux paysages d’Irlande et d’Ecosse. On y retrouve tous les éléments constituant la magie et le mystère des légendes bretonnes : les crêtes rocheuses, les landes couvertes de bruyères et d’ajoncs, les ruisseaux, les lacs et les bois. Que ce soit sur le chemin des crêtes ou le long du Yeun Elez près du lac de Brennilis, on n’y croise guère que troupeaux isolés, marcheurs et cavaliers. Les vues présentées ici ont été prises de la montagne Saint-Michel de Brasparts.
Au cœur de la vieille ville, le cours Lafayette, lieu de rencontre et de marché, offre le visage le plus pittoresque de Toulon. En le remontant, vous découvrirez sur votre gauche, cette place où trône une fontaine encadrée d’oliviers centenaires et où une plaque célèbre les enfants du quartier tombés au champ d’honneur.
Le marquis de Sade séjourna au château de Lacoste de 1769 à 1772 puis s’y réfugia à deux reprises. L'édifice comptait alors 42 pièces, une salle de théâtre et une chapelle. Pillé à la révolution, il sera démoli en 1816. Résidence secondaire de Pierre Cardin depuis 2001, il devient un lieu de spectacles et d’expositions. Deux œuvres d’Alexandre Bourganov ont élu domicile sur le parvis du château : "Welcome" et "le Marquis de Sade".
Monument aux morts de Billancourt Ce monument aux morts de la guerre de 1914 1918 a été inauguré en 1924. Il a été commandé au sculpteur boulonnais Paul Landowski pour figurer dans le « nouveau » cimetière de Billancourt ouvert en 1889. Sous l’inscription « A ceux qui sont morts pour nous, la ville de Boulogne sur Seine pleure deux mille neuf cent quatre-vingt seize de ses enfants. », figurent une femme et son enfant dans une attitude d’attente sans espoir. Une frise au dessus d’eux représente des soldats combattant au milieu des blessés et des morts. Cimetière de Billancourt, 48 avenue Pierre...
Construit sur l’emplacement de la maison-atelier qu’occupait l’artiste, le musée-jardin Paul Landowski présente un fonds représentatif de son oeuvre. Après l’obtention du Grand prix de Rome de sculpture en 1900, Paul Landowski s’est installé à Boulogne-sur-Seine où il a vécu et travaillé jusqu’à sa mort en 1961.
Temple-de-l'Homme
Temple-de-l'Homme (détail)
Cantique-des-cantiques
Hymne-à-l'aurore