Nous vous proposons de découvrir des sculptures, des productions artistiques, des paysages modifiés par la main de l'homme, des lieux de vie qui témoignent de notre passé et qui méritent, à nos yeux, d'être préservés, admirés et transmis.
Témoin du développement monastique en Bourgogne, l’église du prieuré de Saint Thibault, entièrement rénovée, a été rouverte en 2013. Elle comporte un remarquable portail, une abside chef d'œuvre du style gothique, des retables en bois, un gisant identifié comme celui de Guy de Thil et une grande chasse de saint Thibaut.
Témoin du développement monastique en Bourgogne, l’église du prieuré de Saint Thibault, entièrement rénovée, a été rouverte en 2013. Elle comporte un remarquable portail, une abside chef d'œuvre du style gothique, des retables en bois, un gisant identifié comme celui de Guy de Thil et une grande chasse de saint Thibaut. Les boiseries date du XVIIIème siècle et proviennent de l'église de Sémur-en-Auxois dont elles entouraient le coeur jusqu'en 1944.
Ce monument aux morts réalisé en 1961 a pris la place du monument aux morts de la première guerre mondiale détruit par les allemands pour y installer une batterie anti-aérienne. Cette sculpture représentant un guerrier à genoux avec un glaive brisé est l’œuvre d’André Deluol. Plus d’informations sur le sculpteur sont disponibles ici. La Seyne-sur-Mer, au bout du quai Hoche.
Hors des circuits de visite classiques de Vienne, l’église Saint-Léopold est petit bijou de l’architecture Jugenstil réalisé par Otto Wagner, un des architectes viennois emblématiques du style Art Nouveau autrichien. L'église Saint-Léopold a été construite entre 1902 et 1907 au sein de l'hôpital psychiatrique du Steinhof qu’elle surplombe. L’intérieur de l’église est aussi étonnant que l’extérieur ; Wagner a conçu une partie du mobilier mais a également fait appel à d’autres artistes du mouvement de la Sécession viennoise comme Koloman Moser. Marbre blanc, ors, mosaïques, vitraux, luminaires et...
La ville de Reims a durement souffert de la première Guerre Mondiale et sa reconstruction dans les années 20 a donné lieu à la création de nombreux bâtiments de style « Art déco ». La bibliothèque Carnegie en est un bel exemple. Inaugurée en 1928, elle a été financée par la « dotation Carnegie pour la paix internationale » de l’industriel américain Andrew Carnegie qui figure en buste devant le bâtiment. La bibliothèque est l’œuvre de l’architecte Max Sainsaulieu. Sa décoration intérieure est exceptionnelle : marbre au sol et sur les murs, mosaïques réalisées sur des cartons d’Henri Sauvage, vasque...
Le Musée d’Art et d’Industrie André Diligent a pris place dans l’ancienne piscine municipale de Roubaix bâtie entre 1927 et 1932 par Albert Baert sur le plan symbolique d’une abbaye cistercienne. Désaffectée depuis 1985, elle a été réunie aux installations de l’ancienne usine de tissage voisine pour constituer un lieu d’exposition tout à fait original. La Piscine accueille des expositions permanentes (sculptures et céramiques) autour de l’ancien bassin et dans les anciennes cabines de bains. La lumière donnée par les 2 grands vitraux, les mosaïques des années 30 et la conservation d’un étroit bassin...
Créateur des jardins du château de Saint-Germain-en-Laye, Le Nôtre, maître de la perspective, compléta son œuvre par la construction d’une terrasse de 30 mètres de large sur 2400 mètres de long. La balustrade en fer forgé fut posée entre 1857 et 1871.
Construit en 1911 par l’architecte C. Lecourtois pour le fleuriste Pierre Orève, cet immeuble comprend une boutique en avancée sur la rue, des serres dans la cour et un jardin d’hiver à l’étage. L’immeuble lui-même est réalisé en briques beiges avec des touches de bleu. Le restaurant qui a remplacé la boutique du fleuriste en 1987 en a conservé le décor original, signé de Maurice Marty : briques vernissées, mosaïques représentant des guirlandes de feuilles de chêne et de châtaignier sur fond or et sculptures. 25 rue de la Pompe, Paris. Métro Muette
C’est à la demande de la veuve de Jean-Baptiste Carpeaux, décédé 20 ans plus tôt, qu’Hector Guimard a travaillé en 1895 sur ce bâtiment en modifiant la façade et en réalisant l’élévation du deuxième étage. On retrouve à ce niveau les prémices de l’architecture Art Nouveau à Paris : l’utilisation des briques rouges, la forme des ouvertures, la frise en grès. Deux sculptures de Jean-Baptiste Carpeaux ornent la façade. Atelier Carpeaux, 39 bd Exelmans, 75016 Paris
Construites entre 1719 et 1740 par Jean Aubert et longues de 186 mètres avec un dôme central culminant à 38 mètres de hauteur, elles pouvaient accueillir 240 chevaux et 500 chiens pour les chasses à courre.